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PROJECTEUR ET BOITE A LUMIERE OKAIO PRINCIPE DE FONCTIONNEMENTAVEC LES DESSINS DE LA 1ère APPROCHE INDUSTRIELLE JUIN 98





Le principe du projecteur et de la Boite à Lumière OKAIO s'adapte à tous les cas de lumière visible ou invisible et cela quelle que soit la taille et le volume nécessaires, du plus petit (endoscopie) au plus grand.





- La démarche originelle consiste à contrôler un enchevêtrement de lumière, dans un espace prédéterminé, octroyant sur chaque plan, latéralement, en profondeur et en hauteur un dosage harmonieux de lumière en privilégiant les directionnels latéraux et le tout en utilisant au départ, une seule source de lumière projetée via la Boite à Lumière OKAIO. On dégage de ce fait une notion de multi-stéreo spatiale de lumière entièrement contrôlée.



- L'ensemble OKAIO donne une lumière naturelle qui n'éblouit pas, réduit fortement les brillances, les reflets, les scintillements sur les matériaux et les gens, Confère, une perception de relief, de volume, de vie inégalé. Les photos en sont la meilleure preuve,bien qu'étant réalisées avecdes boites à lumières OKAIO “ préhistoriques ”.



Seuls les observateurs avec préjugés défavorables ne verront pas cette différence et nous les mettons au défi de faire aussi bien, dans des conditions habituelles de reportage, en intérieur comme en extérieur avec des sujets en mouvement et des situations changeantes, sans trépied et avec 3 flashs portables.



Que la source de lumière soit devant la Boite à Lumière OKAIO ou dedans, le principe de l'invention est le même, seules les formes arrière et la pyramide intérieure centrale changent.



Ainsi les logiciels de calcul théorique de la direction de la lumière auront un rôle très important dans le rendement et efficacité réels du Projecteur et de la Boite à Lumière OKAIO et les logiciels assureront les formes et les plans miroités des différentes version futures en lumière permanente et lumière flash.



La Boite à Lumière OKAIO est un système de diffusion contrôlée de la lumière destiné à recevoir une source lumineuse dont la répartition du flux est réglée par des microplans inclinés. miroités.



Les Boites à Lumière, telles qu'elles sont utilisées pour les spots en tous genres, projecteurs, éclairage public, privé et dans les studios de prise de vue, ne comportent qu'une simple paroi translucide dont le rôle est de diffuser, sans plus, le flux brutal de lumière incidente et il n'existe aucun dispositif réellement innovant et pratique de réglage dans la répartition de ce flux.



Dans la Boite à Lumière OKAIO, le flux direct n'arrive que très partiellement sur la paroi translucide et plusieurs plans miroités pyramidaux permettent chacun d'orienter une partie du flux dans des directions différentes choisies simultanément sur les 8 pétales et dans le corps central lorsque les volets de ce dernier sont ouverts.



Une fois que la lumière est admise dans la Boite à Lumière OKAIO, tout le système repose sur les plans miroités, eux-mêmes composés de micros plans inclinés et parfois contre-plans optimisés, qui ont pour but d'éviter un retour de la lumière vers sa source d'émission.



Bien sûr les plans miroités centraux de la pyramide centrale intérieure à 8 faces ont un rôle extrêmement déterminant. Ils distribuent cette lumière et le couvercle de la pyramide intérieure assure le rôle crucial du contrôle de la lumière pour le corps central lorsque ce dernier est ouvert par les volets mobiles.



Chaque plan (plusieurs centaines/milliers) est optimisé (grâce au logiciel du calcul directionnel de la lumière) pour emmener et guider chaque pinceau de photons en dehors de la Boite à Lumière OKAIO, afin d'apporter son élément (son point) au maillage de la lumière multi-stéréo...



Comme un réseau de toiles d'araignées mises les unes derrières les autres, sur le plan horizontal et recoupé par un autre réseau sur un plan vertical.



Les plans miroités centraux placés sur la pyramide intérieure sont fixes, munis de 4 ouvertures à volets mobiles, la pyramide intérieure étant fixe ( dans cet exemple).



Les pétales sont composés de différents angles de renvoi de lumière par des plans miroités (dans cet exemple) puis reçoivent la lumière ricochée venant des miroirs inclinés de leur propre façade (de chaque pétale). Ces derniers miroirs de façade assurent le maillage et la direction finale du flux lumineux (pinceau de photons) et l'anti-retour éventuel des photons vers la pyramide.



Mais chaque pétale reçoit aussi les transferts de lumière des autres pétales proches, mineurs pour celles proches, mais majeurs en provenance de la pyramide intérieure complète. D'où l'importance des plans miroités optimisés pour le directionnel des flux lumineux qui assurent toujours la sortie de la lumière, sans la perdre, vers les pétales y compris par les angles des parois miroitées du corps central. Lumière perdue égale perte de puissance.



- La lumière doit sortir dans tous les cas, y compris dans tous les transferts potentiels de lumière, occasionnés lors des nombreux réglages personnalisés qu'offre la Boite à Lumière OKAIO.



- Chaque pétale a une structure monobloc et est mobile à sa base, cette dernière reposant sur chaque cale-support qui est elle-même fait bloc avec le corps central (8 cales-supports). La cale-support rentre dans la structure basse du pétale.



- Chaque façade porte-miroir du pétale est interchangeable et modulable, pour des effets différents.



- Le corps central est composé d'une pyramide intérieure fixe à 8 faces avec 4 ouvertures rétractables par des volets mobiles (dans l'exemple présenté) et de 8 cales fixes qui assurent l'étanchéité (de lumière) pour la mobilité des pétales. Ainsi l'ensemble corps central, cale-pétales, pyramide intérieure et son couvercle extérieur sont monobloc en un seul tenant.



Si on ouvre plus ou moins les volets de la pyramide intérieure, les plans miroités de cette dernière et son couvercle avec ses plans miroitées en plans inclinés multiples assurent le maillage de la lumière qui sort.



On obtient ainsi, à la fois, des cassures en cascades du flux lumineux et une possibilité inégalée de favoriser l'orientation de la lumière dans une ou plusieurs zones déterminées en partant du corps central, indépendamment ou en complément de la lumière venant des 8 pétales qui entourent le corps central.



On peut aussi glisser dans les pétales des réducteurs de lumière ou des supports de miroirs différents en plus de ceux qui seront intégrés dans les lisières du corps central. Il est à noter que les miroirs de façade ou les différents plans miroités intérieurs de la Boite à Lumière peuvent être colorés, donnant ainsi, une notion de “peinture” de la lumière dans un espace tridimensionnel prédéterminé, capacité inédite à ce jour.



L'originalité même de l'invention est de redistribuer, de changer l'orientation initiale de la lumière.



EXPLICATIONS :



Ainsi normalement, “dans cet exemple”, on part d'un point central, face à la Boite à Lumière, que l'on nommera 0° (le plus fort en intensité !) puis par paliers dégressifs vers les faisceaux de plus faibles intensités théoriques 5°, 15°, 25°, 35° et 45° (limite de couverture du flash, qui sert de référence, position 35mm) et cela dans un rayonnement vertical et horizontal, sur les 180° habituels. Cela entraîne automatiquement un point chaud de lumière, et l'excès de cette dernière éblouit, enlève les couleurs et surtout enlève la perception du relief.



Les éclairages de monuments, de musées, de vitrines de magasins, en sont la preuve vivante. Il suffit d'être dans ces lieux pour observer et vérifier. Je ne l'invente pas, c'est un fait…



L'invention change totalement ces données, par l'intermédiaire des très nombreux angles différents de réception des plans miroités de la pyramide centrale et des parois “inclinées” du corps central et ensuite du rôle “chef d'orchestre” des miroirs inclinés de façade des pétales et du couvercle extérieur de la pyramide intérieur. Les angles de lumière de 0°, 5°, 15°, 25 , 35° et 45° ont changé de destination par une attaque latérale des rayons multi-angulaire d'intensité multiple.



Un simple petit exemple : avec les pétales dirigés vers l'arrière, une partie des faisceaux de 0° va être dirigée à éclairer, dans un angle de 45°, puis d'autres à 80°, 90° (vers l'arrière), d'autres 0° serontà 70°, à 10°. D'autres 0° vont éclairer dans les 5°, mais à droite et à gauche du 0° central originel…



Un autre petit exemple : les faisceaux 5° originels se retrouvent à 80° (certains), puis à 90° et 100° (vers l'arrière) et quelques-uns uns à 25° et pour finir les 35° originel se retrouvent à 15° et les 35° parfoisà 35°. D'autres à 95°.



La lumière venant des miroirs de façades est sensée être moins forte (chaque rebond du faisceau de lumière lui fait perdre de la puissance). C'est en partie ce qui assure cette notion “de sculptage” de lumière sur le sujet, en dosant ainsi simultanément des pinceaux de lumière les uns par rapport aux autres.



Cependant la perte de puissance de chaque rebond (de lumière) n'est pas certaine (ou ne sera pas forcément celle attendue), car chaque plan miroité est bombardé de centaines de faisceaux de lumière. Ainsi il sert de support d'orientation (de carrefour) à plusieurs millions de photons, et peut faire apparaître de ce fait un infime gain en puissance, et éventuellement révéler avec l'ensemble intérieur de la Boite à Lumière OKAIO une énergie de soutien,. Ce même effet se retrouve avec les plans miroités des façades (pétales spécialement). Il faut savoir que des centaines de plans miroités agissent en concomitances comme “supports d'orientation”.



Mais cette énergie de soutien ne peut-être effectuée que dans 2 conditions, une : un miroitage de haute qualité. deux : par la récupération de la lumière qui part vers l'arrière (180°) du tube de lumière d'émission. Ainsi les plans miroités étoilé et pyramidal court arrière prendront la lumière perdue pour la rendre fonctionnelle dans les courtes distances. Nous aurons ainsi une perception “d'escalier” d'intensité de photons dans un espace volumétrique. De ce fait, le concept la lumière sera vu différemment par les scientifiques et les chercheurs. Un autre exemple : le cumul réceptionnel de lumière sur les sujets éclairés par les faisceaux de lumière de 35°, 15°, 5° et 25° via l'invention ne donnera pas la même lumière que la même lumière sans l'invention, avec les faisceaux de 0°, 5° et 15° habituel, car l'invention crée un enchevêtrement de pinceaux de lumières à intensités différentes et un directionnel d'origine latérale.



Le frontal réel (sans l'invention) est toujours plus fort, même si les instruments de mesure, mesurent la même puissance en horizontal.



De ce fait, si on juxtapose 20 micro-cellules qui épousent la forme visible du sujet éclairé, on obtiendra des mesures de précision différentes les unes vis-à-vis des autres par rapport à une mesure horizontale et frontale.



L'originalité de l'invention, c'est d'éclairer l'ombre engendrée habituellement par l'éclairage conventionnel.



Traditionnellement on fait du relief (ou sa perception) par des ombres dures et par des excès de lumière (éblouissement, perte des couleurs, etc…), alors qu'avec l'invention on applique simultanément au sujet éclairé des centaines de milliers de micro-ombres, micro-contrastes et par son concept on évite les excès de lumière…



Les photos en sont la preuve vivante bien qu'étant réalisées avec des Boites à Lumière OKAIO préhistoriques qui n'utilisent le principe de l'invention qu'a 20% de l'idée originelle. Mais les dessins du directionnel de lumière valent tous les discours …



Remarque techniques



- Les flashs futurs auront leurs tubes éclairs fixes et la couverture globale du sujet par la lumière du flash, sera assurée par la mobilité des pétales.



- Si la mobilité des pétales fait “peur” quant aux coûts de fabrication, les séries en milliers d'exemplaires permettent des coûts très faibles, et on peut limiter la conception à des pétales fixes, mais orientés différemment, seuls, par deux, par trois etc…(les uns par rapport aux autres). Il suffit pour avoir des éclairages différents, de faire simplement coulisser par la base du pétale (glissière du corps central), un panneau amovible miroité, afin d'engager plus ou moins de lumière dans le dit pétale et changer le relief de la lumière éclairant les sujets.



L'ensemble est dès le départ optimisé (prévus) par les calculs théoriques des logiciels de répartition et directionnel de la lumière.



Ceci est un exemple du concept de l'invention parmi tant d'autres.



Il est certain qu'une nouvelle génération d'appareils compacts 24x36 et APS utilisera à la place du petit flash actuel, un ensemble petit flash-BAL OKAIO monobloc où la lumière sera remarquable et remarquée par le grand public (automatiquement anti-yeux rouges).





En conclusion, on a carrément un enchevêtrement multi-stéréo de lumière redirigée, qui est projetée simultanément sur différents plans en profondeur, et dans toutes les directions possibles, créant des milliers de micro-contrastes sur les sujets éclairés. Ainsi on obtient un dégradé de lumière qui éclaire plus loin, tout en éclairant moins fort devant la source, offrant un “sculptage” de lumière inédit et conduisant à l'obtention, avec réduction des ombres portées, d'une lumière naturelle et impression de relief et couleurs réelles inégalés jusqu'ici…



Merci de votre lecture. L'inventeur M. Olivier CAILLAUD





Les applications de la Boite à Lumière OKAIO sont nombreuses : La photographie, bien entendu, mais aussi, la vidéo, le cinéma, la télévision et les éclairages de vitrines intérieures et extérieures et leséclairages publics en tous genres (y compris les feux tricolores, les éclairages de monuments), de musées, tous les éclairages domestiques (halogène etc...), tout le domaine médical (Scialytiques, endoscopie etc..) et tous les éclairages pour la microscopie.



Pour l'utilisation en photographie, la Boite à Lumière OKAIO peut s'adapter à tous types de flashs, y compris les flashs intégrés, compact et 24x36 reflex entre autres, ou aux autres sources lumineuses du commerce par divers dispositifs réglables connus.



La Boite à Lumière OKAIO est couverte par le brevet français n° 95.0545 et n° 95.14832 et la demande de brevet déposée à l'INPI de Strasbourg le 13 mars 1998 n° 3479. Elle s'utilise seule ou éventuellement en conjonction avec le STUDIO PORTABLE OKAIO et ou avec uniquement le bras télescopique de celui-ci.