Au bord de l’étang de l’incertitude
en espérant que le rêve éclose
la respiration berce l’attente
manège d’un mouvement perpétuel
barbare
bal musette rythmé par l’instant présent
seule réalité permettant de poursuivre
jusqu’aux demains ivres d’illusions
jusqu’au crépuscule de l’impatience
réitérant le carrousel sempiternel
mouvement en devenir
mécanique logique d’un arrêt inexistant
horloge de l’humanité.
Félicitations pour ce succès amplement mérité.
Un portrait immédiatement fascinant
et qui, excellant dans ses reflets bleutés et argentés
et l'intensité du regard, n'en fait pas moins penser
- ce qui n'est pas la moindre de ses qualités... -
à "L'Afghane aux yeux verts" de Steve McCurry.
Amitiés. Yda