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Premium (World), île d'Oléron

Hommage à JEAN D'O

MERCI à Christian Villain et à vous mes amis d'avoir étoilé cet hommage à Jean D'O.
Bises à tous..
Sylvie

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CHÂTEAU - de - FORGES- 3 -  -
CHÂTEAU - de - FORGES- 3 - -
Christian Villain
CHÂTEAU - de - FORGES - 1 -
CHÂTEAU - de - FORGES - 1 -
Christian Villain
LENS - 7 -
LENS - 7 -
Christian Villain



'il est "très mauvais pour un écrivain de mourir en même temps" qu'une star..........." Mourir en même temps qu'un chanteur ? Surtout pas" ! Jean d'Ormesson , faisait allusion à la mort de Jean Cocteau passée presque inaperçue car décédé le même jour qu' édith Piaf..Et pourtant.................

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Une beauté pour toujours. Tout passe. Tout finit. Tout disparaît. Et moi qui m'imaginais devoir vivre pour toujours, qu'est-ce que je deviens ? Il n'est pas impossible. .. Mais que je sois passé sur et dans ce monde où vous avez vécu est une vérité et une beauté pour toujours et la mort elle-même ne peut rien contre moi.
Un hosanna sans fin. - Jean d'Ormesson
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Jamais le monde n'a été aussi bas, ronchonnait mon grand-père. Aussi veule, aussi médiocre. Il ne croit plus à rien si ce n'est à l'argent. Pour le soulever si peu que ce soit au dessus de lui-même, il faut descendre jusqu'au jeux de ballon qui sont la pâle réplique des jeux du cirque d'autrefois.
Casimir mène la grande vie, Jean D'Ormesson, éd. Gallimard, 1997, p. 135 - Jean d'Ormesson
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Karl Marx, Rimbaud, Dostoïevski, se révoltent contre les menaces obscures qu'ils devinent dans l'avenir. L'exploitation des plus faibles se combine insidieusement avec un moralisme de façade. L'hypocrisie triomphe. Le conformisme des esprits avance à pas de géant. L'aventure, le charme, l'indépendance morale livrent des combats d'arrière-garde. Une espèce de grisaille s'étend sur l'univers.
Le vent du soir, Jean d'Ormesson, éd. Jean CLaude Lattès, 1985, p. 114 - Jean d'Ormesson
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La littérature vivante d'aujourd'hui, qui m'a si souvent emmerdé avec son sérieux implacable et son pédantisme expérimental et toujours avorté, je lui rends bien volontiers la monnaie de sa pièce et je l'envoie se faire foutre avec beaucoup de gaieté. Je ne sais pas si je serai encore vivant demain, mais je suis sûr que la littérature vivante d'aujourd'hui, qui, avec son intolérance de donneuse de leçons et ses fanfaronnades de mauvais sentiments, est l'exact pendant, inversé et beaucoup plus prétentieux, de la crétinerie des pompiers de la peinture et de la littérature de la fin du XIXe siècle, sera morte avant moi — si elle n'est pas déjà morte.
Qu’ai-je donc fait, Jean d'Ormesson, éd. Éditions Robert Laffont, 2008 (ISBN 978-2-221-11198-7), p. 28, 29 - Jean d'Ormesson
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Les traditions sont faites, à mes yeux, et d’une façon indissoluble, à la fois pour être maintenues et pour être bousculées.
Dans son discours de réception à l'Académie française, le 6 juin 1974. - Jean d'Ormesson
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Toute mort est un mystère parce que toute vie est un mystère.
Voyez comme on danse - Jean d'Ormesson
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Il y a quelque chose de plus fort que la mort, c'est la présence des absents, dans la mémoire des vivants.
Dans son discours de réception à l'Académie française, le 6 juin 1974. - Jean d'Ormesson
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